Agrégateur de nouvelles

Agenda du Libre pour la semaine 21 de l'année 2024

Linuxfr.org - 18 mai, 2024 - 22:12

Calendrier Web, regroupant des événements liés au Libre (logiciel, salon, atelier, install party, conférence), annoncés par leurs organisateurs. Voici un récapitulatif de la semaine à venir. Le détail de chacun de ces 33 événements (France: 29, internet: 1, Suisse: 2, Québec: 1) est en seconde partie de dépêche.

Sommaire

Un catholique face à l'IA

Transcriptions - 18 mai, 2024 - 10:59

Xavier de La Porte : Je ne crois pas en Dieu. La foi est même un processus ou un état, je ne sais pas comment il faut dire, qui m'est très étranger. Pour autant, je n'ai aucun mépris ni pour la foi ni pour les croyants ni pour les religions ou les textes dont elles sont issues. Je ne pense pas que l'absence de religion soit le signe d'une société avancée. Je ne suis pas croyant, donc, et je suis même ravi de vivre dans une société qui permet de ne pas être croyant, mais je n'en tire aucune supériorité. (...)

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Coopaname - MiXiT - « Libre à vous ! » du 7 mai 2024 - Podcasts et références

Linuxfr.org - 18 mai, 2024 - 10:12

208ème «  Libre à vous !  » de l’April. Podcast et programme :

  • sujet principal : coopérative et logiciels libres : un exemple avec Coopaname, avec Nicolas Duclos, Vincent Lucy et Marine Monnier Baron de l'équipe de Coopaname
  • retour d'expérience d'Isabella Vanni de l'April sur sa première participation à la conférence MiXiT
  • chronique de Gee sur « Mickey dans le domaine public ». Rediffusion de la chronique diffusée dans l’émission Libre à vous ! du 16 janvier 2024

Rendez‑vous en direct chaque mardi de 15 h 30 à 17 h sur 93,1 FM en Île‑de‑France. L’émission est diffusée simultanément sur le site Web de la radio Cause Commune.

Vous pouvez laisser un message sur le répondeur de la radio, pour réagir à l’un des sujets de l’émission ou poser une question. Le numéro du répondeur : +33 9 72 51 55 46.

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Nouvelles April: #208 - Coopaname - MiXiT - Mickey dans le domaine public - « Libre à vous ! » diffusée mardi 7 mai 2024 sur radio Cause Commune

Planète April - 17 mai, 2024 - 11:01

Libre à vous !, l’émission de l’April, l’association de promotion et de défense du logiciel libre. Prenez le contrôle de vos libertés informatiques, découvrez les enjeux et l’actualité du libre.

Au programme de la 208e émission :

  • sujet principal : coopérative et logiciels libres : un exemple avec Coopaname, avec Nicolas Duclos, Vincent Lucy et Marine Monnier Baron de l'équipe de Coopaname
  • retour d'expérience d'Isabella Vanni, salariée de l'April, sur sa première participation à la conférence MiXiT
  • la chronique de Gee sur « Mickey dans le domaine public ». Rediffusion de la chronique diffusée dans l’émission Libre à vous ! du 16 janvier 2024
  • quoi de Libre ? Actualités et annonces concernant l'April et le monde du Libre

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Émission Libre à vous ! diffusée mardi 7 mai 2024 sur radio Cause Commune

Transcriptions - 16 mai, 2024 - 10:44

Voix off : Libre à vous !, l'émission pour comprendre et agir avec l'April, l'association de promotion et de défense du logiciel libre.
Isabella Vanni : Bonjour à tous. Bonjour à toutes. « Coopérative et logiciels libres, un exemple avec Coopaname », c'est le sujet principal de l'émission du jour. Également au programme, un retour d'expérience de la conférence MiXiT et aussi la chronique de Gee, « Mickey dans le domaine public ». Nous allons parler de tout cela dans l'émission du jour.
Soyez les (...)

- Transcriptions / , , , , , , , , , , , ,

L’écriture et l’image, des âges farouches au texte électronique

Linuxfr.org - 16 mai, 2024 - 07:36

Dans cette nouvelle excursion du Transimpressux, nous voyagerons chez les Mayas de l’époque pré-colombienne ainsi que dans la Rome antique. Nous ferons un rapide tour des monastères médiévaux, nous irons rendre une courte visite à Aloys Senefelder à Munich. Nous en profiterons pour aller voir Isaac Newton, Tintin et Astérix et on terminera notre voyage à Kreutzal, en Allemagne. On n’y parlera pas de Rahan, quoique. On aura compris qu’il sera question d’image, d’écriture et de texte.

Le bar du Transimpressux vous propose un vaste échantillon issu du pas si grand livre des recettes de LinuxFr.org. En espérant qu’à la lecture de cette dépêche vous aurez fait un beau voyage.

Sommaire Préambule

Au départ, j’avais prévu de parler aussi de formats, mais, à l’arrivée, c’est déjà bien long. La question des formats fera donc l’objet d’une autre dépêche de la série.

J’utilise indifféremment les termes de fonte, police, police de caractère ou typographie. Et, comme il sera question de périodes très éloignées dans le temps, celles antérieures à notre ère seront indiquées sous la forme AEC (avant l’ère commune).

Quelques définitions avant de commencer

Il est possible que certaines notions ne vous soient pas claires, ces quelques définitions vous seront peut-être utiles.

L’écriture et l’image, des concepts différents vraiment ?

L’écriture n’est pas de l’image, l’image n’est pas de l’écriture. Oui et non.

L’exemple des hiéroglyphes mayas

Le système d’écriture maya n’est pas purement logographique. D’ailleurs est-ce qu’un système d’écriture uniquement logographique ou pictographique existe vraiment ? On a vu précédemment sur LinuxFr.org concernant les systèmes d'écriture que les hiéroglyphes égyptiens et les sinogrammes n’étaient pas composés que de pictogrammes, mais qu’ils allaient de pair avec d’autres signes, notamment phonographiques. Il en va de même avec l’écriture maya qui

est un système graphique normalisé qui, au moyen de quelques centaines de « signes-mots » (ou logogrammes) et environ 150 phonogrammes marquant des syllabes de type Consonne-Voyelle1.

L’écriture maya est apparue, à notre connaissance vers 400 AEC et a été utilisée jusqu’au XVIIe siècle où l’envahisseur espagnol a tout fait pour l’éradiquer, y compris en brûlant des codex. Entre les Espagnols et le climat chaud et humide de la sphère d’influence maya, on ne connaît plus que trois codex mayas précolombiens2 : le codex de Dresde, celui de Paris et celui de Madrid. Un quatrième codex, le codex Grolier, conservé à Mexico est sujet à controverses, sa datation et son authenticité ne sont pas certaines. Mais on retrouve aussi l’écriture maya sur des monuments et du mobilier. On trouve également des graffitis, signe, sans doute, d’un certain niveau d’alphabétisation de la population maya. L’écriture maya devait transcrire plusieurs langues amérindiennes, lesquelles langues ont toujours des locuteurs.


Deux pages du codex de Paris

Pour autant qu’on sache, pour les Mayas, leur écriture tout au moins, l’image était importante. Selon Jean-Michel Hoppan :

Cette écriture est rigoureuse et, tout à la fois, très souple. Elle n’est pas normalisée, au contraire de l’idée qu’on se fait habituellement d’une écriture. Le scribe peut privilégier l’esthétisme au détriment de la compréhension immédiate (en tout cas pour nous). C’est encore plus évident sur les céramiques, où le texte est parfois complètement inintelligible. Le glyphe est là, toujours chargé du pouvoir de l’écrit, mais le contenu de la parole n’est plus. Il devient image. Il y a une grande partie de la céramique où l’on voit de l’écriture, mais qui, de fait, est constituée de pseudoglyphes.3

Les hiéroglyphes mayas n’ont pas de bloc Unicode, même si les chiffres y figurent depuis la version 11.0 (juin 2018). Un billet du blog du consortium (en) du 23 janvier 2020 annonçait l’existence d’une subvention « pour restituer numériquement des écritures historiques et modernes supplémentaires, y compris des hiéroglyphes mayas. ». L’idée étant aussi de faire progresser la recherche de la connaissance de l’écriture et de la culture maya sur les sites de la période 250 – 900, une étape importante pour déterminer les signes à intégrer à Unicode, et d’aboutir à la création de polices OpenType. La dernière version de la norme Unicode, 15.1.0, date du 12 septembre 2023, un peu juste pour incorporer les hiéroglyphes mayas quand on sait que la création d’une police peut prendre de quatorze à seize mois.

Le contre exemple romain

L’alphabet latin puise ses origines dans l’alphabet étrusque, qui, lui-même, provient du système d’écriture grecque et c’est, bien entendu, celui que nous utilisons sur LinuxFr.org (le latin, pas le grec, suivez un peu). C’est celui de l’ASCII. Il figure dans l’Unicode, évidemment, où il dispose de plusieurs blocs. Le bloc latin de base contient en fait tous les caractères et commandes de l’ASCII. Il n’a pas été modifié depuis la version 1.0.0 d’Unicode.

D’après les écrits qui nous sont arrivés, les Romains avaient une vision très « utilitariste » de l’écriture. Pour eux (les écrits qui nous sont parvenus sur le sujet proviennent essentiellement d’hommes) :

l’écriture est essentiellement destinée à (…) représenter [le langage]. De plus, dans sa version alphabétique, qui est à peu près la seule à laquelle pensent les Latins, l’écriture est une notation des sons, les lettres renvoient à des sons élémentaires et l’alphabet correspond terme à terme (en principe) à un inventaire fini de ces sons.4

Il s’agissait donc pour les anciens Romains non pas de

faire une science de la langue à travers sa représentation graphique, mais bien une science de l’écrit en tant qu’il renvoie à la langue. (Françoise Desbordes).

Un support du langage bien imparfait d’ailleurs puisqu’il ne rend pas les effets du discours oral. Et ce facteur explique aussi que la graphie ait mis du temps à se normaliser. L’écrit étant l’image de l’oral : la langue pouvait être prononcée par des locuteurs avec des accents différents et s’écrire ainsi en fonction de la prononciation.

Les écrits des Romains étaient variés, indépendamment des discours, naturellement et sous diverses formes : monumentales, tablettes de cire, papyrus, mais aussi graffitis que l’on pouvait retrouver sur les murs des édifices privés. Des graffitis qui étaient destinés à être lus et étaient très liés à l’oral :

les messages interpellant parfois nommément, au vocatif, une personne – homme ou femme. Ainsi s’explique aussi l’abondance des exclamations (feliciter ! salutem !), des salutations (salve vale !) et des vœux (votum aux Lares pour la salus du maître de maison). Leur caractère performatif ne fait pas de doute.5


Graffiti de Pompéi vantant les exploits sexuels du miles Floronius (CIL, IV, 8767). Wolff 2012, 19, fig. 7.

La séparation du texte et de l’image

Des compétences, des métiers et des techniques différentes.

Les manuscrits médiévaux, une séparation parfois extrême

Le travail de copie des monastères médiévaux, notamment (la profession se sécularisera à partir du XIIIe siècle), différait en fonction des lieux et des époques. Au début, le, ou les copistes, suivant en cela, semble-t-il, les traditions grecques et romaines, étaient également chargés de l’ornementation. Les copistes, parce que la copie d’un manuscrit pouvait être distribuée en plusieurs cahiers à différents copistes pour accélérer le travail de copie. La ponctuation, quant à elle, était généralement du ressort des correcteurs, quand il y en avait, pas des copistes.

Il arrivait aussi qu’il y ait un copiste pour le texte et un pour les enluminures, surtout pour les manuscrits les plus riches. Dans ce cas, le ou la copiste écrivait la lettre à enluminer et laissait la place nécessaire, à charge pour l’enlumineur ou l’enlumineuse d’orner le parchemin. Les copies n’étant pas du ressort unique des monastères, les enlumineurs et les enlumineuses étaient souvent des peintres.

Et parce que le travail était ainsi le fait de corps de métier différents, il subsiste des manuscrits médiévaux pas finis, avec des « blancs » pour des enluminures qui ne verront jamais le jour.

L’imprimerie : des typographies ornementales

Jusqu’à la fin du XVIIIe siècle, les techniques d’impression ont assez peu évolué. Il y avait des perfectionnements et des améliorations, certes, mais, les techniques restaient grosso modo celles de Gutenberg. Les illustrations étaient gravées à part, puis, après la découverte fortuite de la lithographie par Aloys Senefelder en 1796 dessinées sur la pierre, ce qui permettait aux artistes de travailler directement sur la pierre sans avoir à passer par l’intermédiaire d’un graveur. La lithographie permet en effet de dessiner le motif sur la pierre, à l’origine. Senefelder travaillera aussi sur plaque de zinc. La lithographie repose sur le principe de l’antagonisme de l’eau et de la graisse : les zones à imprimer sont traités à la graisse, les autres sont mouillées. L’encre grasse se dépose ainsi seulement sur les zones grasses.

Si l’impression en noir et blanc pouvait se faire d’une traite, celle en couleurs, selon les exigences et les techniques utilisées, pouvait requérir jusqu’à quatorze opérations différentes, et presque autant de passages couleurs. L’offset actuel, un procédé qui dérive de la lithographie, fonctionne en quadrichromie : cyan, magenta, jaune et noir (CMJN) et autant de passages couleur.

Les ornements plus susceptibles d’être réutilisés : lettrines, culs-de-lampe et autres fleurons, lignes et arabesques faisaient l’objet, quant à eux, de fontes ornementales spécifiques. Il y avait même des graveurs typographes spécialistes de typographie ornementale comme Joseph-Gaspard Gillé (pdf) (1766-1826). Aujourd’hui, ce genre de fonte peut se trouver, dans les blocs Unicode de systèmes d’écriture, notamment, latin. On y retrouve d’ailleurs bon nombre de ces polices ornementales purement figuratives même si leur dessin ne correspond pas à une lettre. Mais elles pourraient aussi bien figurer dans les flèches, les filets, les pavés, le bloc casseau ou encore les deux zones supplémentaires.


Les symboles du zodiaque de la collection de fontes de Gillé. Les symboles du zodiaque figurent dans les points de code Unicode U+2648 à 2653 (avec des dessins moins figuratifs).

Toutes les techniques d’imprimerie continuent à exister, de façon plus ou moins anedoctique. Les deux plus répandues étant l’offset, pour les gros volumes, et l’impression numérique (laser ou jet d’encre). Cette dernière étant la seule à imprimer les couleurs d’une seule traite.

La bande dessinée : des métiers différents

La bande dessinée ce n’est pas un métier mais quatre métiers différents qui peuvent ou non, être assurés par la même personne :

  • le scénario,
  • le dessin,
  • la couleur,
  • et le lettrage qui nous intéresse ici.

Le lettrage, dans la bande dessinée ce sont en fait plusieurs types d’écriture :

le paratexte (titres, signatures, numérotation), les interventions du narrateur (récitatifs, didascalies, commentaires), toute la notation des sons (dialogues, onomatopées, bruits) – le lettrage assume ainsi une part très importante du « régime sonore » de la bande dessinée, au point que l’on appelle « muettes » les bandes dessinées qui n’en comportent pas du tout (puisque le lettrage n’est pas indispensable à la réalisation d’une bande dessinée).6

Gotlib (les Dingodossiers, la Rubrique à brac, Super Dupont, Gai-Luron) est entré en bande dessinée par la voie du lettrage.


Un extrait des Dingodossiers de Gotlib, scénario de Goscinny. L’image comporte des didascalies à gauche et en haut à droite, une bulle de texte, en-dessous, du texte « sonore. »

D’autres auront leur lettreur attitré, comme Hergé. Arsène Lemey a assuré le lettrage de ses Tintin à partir de la version allemande du Secret de la licorne, le onzième album de la série. La police de caractère créée par Arsène Lemey pour Tintin est l’Arleson, elle sera intégrée à la photocomposeuse de Casterman dans les années 1970. Pour la série Astérix ce sont les lettrages de Michel Janvier, en charge de cette tâche pour un certain nombre d’album depuis 1989, qui ont été numérisés. Trois famille principale de typographies ont ainsi été créées par Le Typophage : Regularus pour les bulles, Boldus pour l’écriture très grasse et Graphix pour les onomatopées et les symboles graphiques.

Avoir sa propre police est actuellement assez facile en passant par des sites comme le Calligraphe qui permettent de générer une typographie à partir de son écriture manuscrite. C’est ce qu’a fait notamment heyheymomo (en) qui offre sa police en téléchargement (en).

Qu’est-ce que le texte ?

Au début de l’informatique, chez IBM l’unité de mesure était le mot (word). La capacité d’une machine s’évaluait donc en nombre de mots. Un mot étant, selon le manuel de l’IBM 605 constitué de « dix chiffres et d’un signe algébrique ». Ainsi l’IBM 605 avait une capacité de 1 000 à 2 000 mots. Le texte n’était pas bien loin.

Mais, qu’est-ce que le texte ? Selon les points de vue, la notion de texte peut être très vaste. En musique par exemple, il est question de sous-texte et ça n’a rien à voir avec les paroles de chanson ou de mélodies ou le livret des opéras. Dans le cadre de cette série qui, globalement, traite de l’informatique dans le contexte historique de l’écriture, j’opte pour une définition restrictive et axée sur l’écriture et la lecture.

Le texte est ainsi de l’écriture qui peut se lire avec les yeux, les oreilles ou les doigts et qui peut aussi être lue par des robots. C’est du texte fait pour être lu pas pour être exécuté dans le cadre d’un logiciel par exemple. Ce qui exclut le code informatique de la définition, même si c’est écrit avec des éditeurs de texte7. On doit pouvoir faire des recherches dans le texte, naviguer dedans, en extraire une partie pour la réutiliser ailleurs, etc.

Il s’ensuit qu’une image avec de l’écriture dessus, ce n’est pas du texte. Un fichier PDF, fac-similé d’un livre imprimé n’est pas du texte. Et les versions PDF des livres numérisés que propose la BnF Gallica par exemple ne sont pas du texte. Un formulaire en PDF qui est en fait une image que l’on aura modifiée avec un outil de dessin (ou imprimé et modifié à la main puis numérisé) n’est pas du texte.

En revanche, si, de mon point de vue, la structure d’une base de données n’est pas du texte, son contenu par contre, oui. Ainsi, au hasard, celle de LinuxFr.org, est du texte, la partie publique tout au moins. Et ce n’est pas Claude qui me contredira.


Un genre d’allégorie des tables de la base de données de LinuxFr.org.

Il est d’autant plus important d’insister là-dessus qu’il se trouve encore des personnes qui ne font pas la différence entre les deux. Et ce, tout simplement parce que c’est écrit et qu’elles, elles, peuvent lire ce qui est écrit.

Nouveau Drop Caps : une police de lettrines

Puisque qu’il a été question plus haut de typographies purement décoratives, c’est l’occasion de vous présenter une police qui ne peut servir qu’à des lettrines ou des titres.

Nouveau Drop Caps est une fonte générée par Dieter Steffmann (en) un typographe de formation qui a créé plus de trois-cent-cinquante polices. La plupart sont plutôt plus à des fins décoratives que des polices de texte. Dans l’ensemble, ses polices peuvent être utilisées pour la langue française, elles ont les caractères qu’il faut. La position de Dieter Steffmann sur son travail est la suivante :

je considère les polices de caractères comme un patrimoine culturel, je ne suis pas d’accord avec leur commercialisation. Les polices autrefois fabriquées à partir de caractères métalliques avaient évidemment un prix en fonction de la valeur du métal, et le coût de conception, de découpe et de moulage est convaincant, d’autant plus que l’acheteur devenait également propriétaire des polices achetées !

Le site sur lesquelles il les dépose, 1001 fonts a, d’ailleurs, une licence (en), avec une disposition assez originale. La police

peut être téléchargée et utilisée gratuitement pour un usage personnel et commercial, à condition que son utilisation ne soit pas raciste ou illégale. (…)

Les fontes peuvent être librement copiées et transmises à d'autres personnes pour un usage privé mais pas être vendues ou publiées sans l’autorisation écrite des auteurs et autrices.

Les textes et documents qui ont servi à alimenter cette dépêche

Les références sont données à peu près dans leur ordre d’apparition dans le texte. La plupart sont accessibles en ligne, et, volontairement, il y a un minimum de références à Wikipédia. Il y a, également, le minimum possible de sources en anglais.

L’écriture maya

Jean-Michel Hoppan est l’un des seuls (le seul ?) spécialiste français d’un domaine de recherche (l’écriture maya) qui ne compte qu’une centaine de personnes dans le monde.

La vision romaine de l’écriture

  • Idées romaines sur l’écriture, Françoise Desbordes, 1990, EPUB : ISBN 9782402324168, PDF : ISBN 9782402657495, marquage filigrane. La maison d’édition FeniXX qui édite ce livre est spécialisée dans la réédition des livres indisponibles du XXe siècle.
  • L’écriture en liberté : les graffitis dans la culture romaine, Michelle Corbier, extrait de Langages et communication : écrits, images, sons, Corbier Mireille et Sauron Gilles (dir.), éd. électronique, Paris, Éd. du Comité des travaux historiques et scientifiques (Actes des congrès nationaux des sociétés historiques et scientifiques), 2017.

Les manuscrits médiévaux

On peut se procurer ces livres au format PDF (fac-similé), en texte brut (je travaille sur une version que je compte mettre en ligne pour chacun de ces livres), les emprunter en version EPUB à la BnF si l'on a un compte, ou acheter l’EPUB. À noter que, selon les librairies, le fichier EPUB a ou non une protection numérique : ainsi, Le Furet du Nord indique qu’ils n’en ont pas, Cultura annonce une DRM LCP, et la FNAC une DRM Adobe.

Bonus ! Si vous voulez vous rincer l’œil, l’IRTH (Institut de recherche et d’histoire des textes) a dressé une liste de sites pour accéder au manuscrit médiéval numérisé.

L’imprimerie

La bande dessinée

  • Lettrage, Laurent Gerbier, Cité internationale de la bande dessinée et de l’image, septembre 2017.
Postambule

La question des formats sera abordée dans le prochain chapitre qui est déjà bien avancé. Et ce n’est pas plus mal, finalement.

Dans le cadre de cette série, il va me falloir traiter aussi de la question des codes (sur laquelle j’ai quelques lacunes, vos suggestions sont bienvenues). Unicode, bien que déjà pas mal abordé, mérite un chapitre à lui tout seul : histoire, composition du consortium, comment on ajoute un système d’écriture à Unicode, et quelques paragraphes sur le code lui-même (et là…). Je pense que je pourrais peut-être caser la norme ISO des écritures dans ce chapitre. Si j’ai parlé de conservation, il va falloir parler de l’archivage : protocoles, accès, ce qui me permettra d’évoquer aussi de la science ouverte, je pense.

  1. L’écriture maya](https://www.inalco.fr/lecriture-maya), Jean-Michel Hoppan, INALCO. 

  2. Les codex étaient écrits sur un papier, l’amate, fait à partir de l’écorce d’un figuier local. 

  3. Les glyphes mayas et leur déchiffrement, Jean-Michel Hoppan, 2009. 

  4. Idées romaines sur l’écriture, Françoise Desbordes & Centre national de la recherche scientifique & Anne Nicolas, 1990. 

  5. L’écriture en liberté : les graffitis dans la culture romaine, Mireille Corbier, 2014. 

  6. Lettrage, Laurent Gerbier, septembre 2017. 

  7. Je reconnais qu’il peut y avoir matière à pinaillage sur ce sujet. 

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Revue de presse de l’April pour la semaine 19 de l’année 2024

Linuxfr.org - 15 mai, 2024 - 23:38

Cette revue de presse sur Internet fait partie du travail de veille mené par l’April dans le cadre de son action de défense et de promotion du logiciel libre. Les positions exposées dans les articles sont celles de leurs auteurs et ne rejoignent pas forcément celles de l’April.

Linuxfr.org - 15 mai, 2024 - 20:24

Nous continuons sur notre lancée de récompenser celles et ceux qui chaque mois contribuent au site LinuxFr.org (dépêches, commentaires, logo, journaux, correctifs, etc.). Vous n’êtes pas sans risquer de gagner un livre des éditions Eyrolles, ENI et D-Booker. Voici les gagnants du mois d'avril 2024 :

Les livres gagnés sont détaillés en seconde partie de la dépêche. N’oubliez pas de contribuer, LinuxFr.org vit pour vous et par vous !

Les livres

Nouvelles April: Réaliser votre documentation en écriture collaborative à l’aide d’un wiki sur le Chapril

Planète April - 15 mai, 2024 - 20:23

Notre site Chapril proposait jusqu'à présent 13 services en ligne, libres et loyaux. Les services sont proposés gratuitement et librement. Un nouveau service est désormais proposé : un service de wiki.

Selon Wikipédia un wiki est une application web qui permet la création, la modification et l'illustration collaboratives de pages à l'intérieur d'un site web. Wikipédia étant d'ailleurs un projet d’encyclopédie collective en ligne, libre, fonctionnant sur le principe du wiki.

Le Chapril propose donc un service de wiki, vous permettant de créer votre wiki.

Les wikis seront publics ou privés au choix. La demande de création d'un nouveau wiki se fait par demande à la liste support (wiki-support *@* chapril.org). Il faut alors choisir le nom court pour l'adresse (par exemple https://wiki.chapril.org/!monpremierwiki), donner un titre et décrire, dans le cas d'un site public, l'objet du site et indiquer la licence.

Retrouvez la page de présentation du service sur le site du Chapril ainsi que la documentation.

Utiliser wiki.chapril.org

Benoît SIBAUD: Petites brèves : UUID, FSF, opendata, JO, linux, grafana, RoR, Docker et d'autres en vrac

Planète April - 15 mai, 2024 - 14:07

Déversons un peu ici la veille du moment pour libérer des onglets ailleurs et partager des liens mais aussi des sources : il s’agit bien évidemment de liens en rapport avec les thématiques du site (en l’occurrence dans cette fournée on trouvera logiciel libre, opendata, développement et vie privée par exemple), et ils sont plutôt variés ; les sources sont des sites web, des lettres d’actus et des réseaux sociaux (dans le cas présent, tous arrivés jusqu’à moi via des flux RSS/Atom), et c’est aussi une manière de les partager et de vous inviter à les suivre aussi. Dans la suite de la dépêche, on parlera donc en vrac UUID, FSF, opendata, JO, linux, grafana, RoR, Docker et bien d’autres choses encore.

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    Petites brèves : UUID, FSF, opendata, JO, linux, grafana, RoR, Docker et d'autres en vrac

    Linuxfr.org - 15 mai, 2024 - 14:07

    Déversons un peu ici la veille du moment pour libérer des onglets ailleurs et partager des liens mais aussi des sources : il s’agit bien évidemment de liens en rapport avec les thématiques du site (en l’occurrence dans cette fournée on trouvera logiciel libre, opendata, développement et vie privée par exemple), et ils sont plutôt variés ; les sources sont des sites web, des lettres d’actus et des réseaux sociaux (dans le cas présent, tous arrivés jusqu’à moi via des flux RSS/Atom), et c’est aussi une manière de les partager et de vous inviter à les suivre aussi. Dans la suite de la dépêche, on parlera donc en vrac UUID, FSF, opendata, JO, linux, grafana, RoR, Docker et bien d’autres choses encore.

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      Nouvelles April: Ouverture des candidatures pour les prix science ouverte 2024

      Planète April - 15 mai, 2024 - 11:51

      Le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche et le Comité pour la science ouverte ont annoncé l'ouverture des candidatures pour les trois prix science ouverte :

      Les candidatures sont ouvertes jusqu’au 24 juin 2024 à midi.

      Depuis 2022, le Prix science ouverte du logiciel libre de la recherche « récompense les projets et les équipes qui œuvrent au développement et à la diffusion des logiciels libres, et qui contribuent ainsi à la construction d’un bien commun de première importance pour la connaissance scientifique. ».

      L'April est membre du jury du Prix science ouverte du logiciel libre de la recherche, par la voix d'Edlira Nano, administratrice de l'association.

      GIMP 2.10.38 est sorti

      Linuxfr.org - 14 mai, 2024 - 16:07

      Note : cette dépêche est une traduction de l'annonce officielle de la sortie de GIMP 2.10.38 du 3 mai 2024 (en anglais).

      Cette (peut-être dernière) version stable de GIMP 2 apporte des rétroportages très demandés de GTK3, y compris une prise en charge améliorée des tablettes sous Windows. Un certain nombre de corrections de bugs et d’améliorations mineures sont également incluses dans cette version.

      Sommaire

      Cette actualité répertorie les changements les plus notables et visibles. En particulier, nous ne répertorions pas toutes les corrections de bogues ou améliorations mineures. Pour obtenir une liste plus complète des modifications, vous devez vous référer au fichier NEWS ou consulter l'historique des commits.

      Nouvelles fonctionnalités et améliorations Prise en charge améliorée des tablettes sous Windows

      Avant cette version, GIMP prenait uniquement en charge la connexion de tablettes sous Windows via les pilotes WinTab plutôt que les nouveaux pilotes Windows Ink. Pour cette raison, nous avons reçu un certain nombre de rapports concernant des tablettes présentant des problèmes avec des boutons qui ne répondent pas, une sensibilité à la pression incorrecte, un mouvement de brosse retardé et des changements de position à mi-course.

      Ces problèmes étaient dus à une limitation de GTK2, car la prise en charge de Windows Ink a été implémentée dans GTK3 par Luca Bacci, contributeur de longue date. Pour cette version, Luca a eu la gentillesse de rétroporter ce support vers GTK2. Vous pouvez désormais basculer entre les pilotes WinTab et Windows Ink (s’ils sont pris en charge par votre ordinateur) dans la boîte de dialogue Préférences sous les paramètres du périphérique d’entrée.


      Windows Pointer Input API peut être changé maintenant - GIMP 2.10.38

      Rétroportages d’autres fonctionnalités de GTK3

      Luca a également contribué à plusieurs autres fonctionnalités portées de GTK3 à GTK2. Certaines des améliorations rétroportées incluent la mise à jour de la taille de la boîte de dialogue d’impression afin que les boutons ne soient pas coupés, la résolution de problèmes avec les boîtes de dialogue contextuelles apparaissant derrière les précédentes et plusieurs correctifs concernant la saisie au clavier.

      Ces améliorations concernent principalement Windows et sont déjà incluses dans la version de développement 2.99. Cependant, nous sommes très heureux que ces améliorations de la qualité de vie soient désormais disponibles dans cette version stable de GIMP 2.10 !

      Corrections de bogues Crashs récents

      Deux crashs fréquemment signalés ont été corrigés. Un changement dans GLib 2.80 a exposé un bogue dans notre processus de fermeture et provoqué un crash à la sortie. Luca Bacci a une fois de plus conçu un correctif pour la version 2.10.38 et la prochaine version candidate 3.0. Un autre crash que certains utilisateurs rencontraient lors de très petites sélections a également été corrigé.

      Autres correctifs

      Un certain nombre d’autres petits bugs ont été corrigés dans cette version. Parmi eux :

      • Les PNG indexés avec transparence sont désormais exportés avec les bonnes couleurs
      • Anders Jonsson a corrigé les plages d’entrée de plusieurs filtres tels que Waves et Distort
      • Le champ de personnalisation de la barre de titre prend désormais en charge les caractères UTF-8
      • Les commentaires d’images existants ne « fuient » plus dans les images nouvellement créées
      Statistiques de sortie

      Depuis GIMP 2.10.36 :

      • 16 rapports ont été clos comme CORRIGÉS dans la version 2.10.38
      • 9 demandes de fusion ont été exécutées
      • 81 commits ont été poussés
      • 1 nouvelle traduction a été ajoutée : kabyle
      • 16 traductions ont été mises à jour : biélorusse, portugais brésilien, anglais britannique, danois, géorgien, allemand, grec, hongrois, islandais, italien, norvégien nynorsk, slovène, espagnol, suédois, turc, espagnol

      25 personnes ont apporté des modifications ou des correctifs à la base de code de GIMP 2.10.36 (l’ordre est déterminé par le nombre de commits) :

      • 7 développeurs : Alx Sa, Jehan, Luca Bacci, Jacob Boerema, Lukas Oberhuber, lillolollo, Øyvind Kolås
      • 19 traducteurs : Kolbjørn Stuestøl, Sabri Ünal, Bruce Cowan, Yuri Chornoivan, Vasil Pupkin, Anders Jonsson, Rodrigo Lledó, Jürgen Benvenuti, Sveinn í Felli, Andi Chandler, Juliano de Souza Camargo, Ekaterine Papava, Balázs Úr, Martin, Philipp Kiemle, Alan Mortensen, Dimitris Spingos, Marco Ciampa, Yacine Bouklif

      Contributions sur d’autres dépôts du GIMPverse (l’ordre est déterminé par le nombre de commits) :

      • La branche gimp-2-10 de gimp-macos-build (scripts de build macOS) a eu 30 commits depuis la version 2.10.36 par 2 contributeurs : Lukas Oberhuber, Bruno Lopes.
      • La version flatpak est composée de 11 commits par 3 contributeurs : Jehan, Hubert Figuière et Bruno Lopes.
      • Notre site Web principal a eu 42 commits depuis la sortie du 2.99.18 par 4 contributeurs : Jehan, Alx Sa, Andre Klapper et Lukas Oberhuber.
      • Notre site Web du développeur a enregistré 34 commits depuis la version 2.99.18 par 6 contributeurs : Bruno Lopes, Jehan, Alx Sa, bootchk, Alpesh Jamgade et Robin Swift.
      • Notre documentation 2.10 a eu 35 commits depuis la version 2.10.36 par 8 contributeurs : Alan Mortensen, Anders Jonsson, Rodrigo Lledó, Jacob Boerema, Kolbjørn Stuestøl, Marco Ciampa, Andi Chandler et Vittor Paulo Vieira da Costa.

      N’oublions pas de remercier toutes les personnes qui nous aident à trier dans Gitlab, rapportent des bugs et discutent avec nous d’éventuelles améliorations. Notre communauté est également profondément reconnaissante envers les guerriers d’Internet qui gèrent nos différents canaux de discussion ou comptes de réseaux sociaux tels que Ville Pätsi, Liam Quin, Michael Schumacher et Sevenix !

      Remarque : compte tenu du nombre de composants dans GIMP et son univers, et de la manière dont nous obtenons des statistiques via les scripts git, des erreurs peuvent se glisser dans ces statistiques. N’hésitez pas à nous dire si nous avons manqué ou mal catégorisé certains contributeurs ou contributions.

      Nouvelles de l’équipe et processus de publication

      Idriss, contributeur du GSoC 2023, a récemment obtenu un accès « développeur » sur le référentiel source principal, pour le travail formidable qu’il a continué depuis lors.

      Ville Pätsi, contributeur de très longue date (plus de 20 ans !), sur divers sujets (design, thématisation et plus) a obtenu l’accès « reporter » à Gitlab pour aider au tri et à l’organisation directement dans le tracker.

      Autour de GIMP Des nouvelles des miroirs

      Depuis nos dernières nouvelles, 3 nouveaux miroirs accueillent GIMP :

      • Clarkson Open Source Institute, États-Unis
      • FCIX, Suisse
      • Tomás Leite de Castro, Portugal

      Cela nous amène à un total de 49 miroirs répartis dans le monde.

      Les miroirs sont importants, car ils aident le projet en partageant la charge de dizaines de milliers de téléchargements quotidiens. De plus, en disposant de miroirs répartis à travers le monde, nous garantissons que tous aient un accès rapide au téléchargement de GIMP.

      Sponsors d’infrastructure et de matériel

      Nous avons amélioré la page sponsor avec 2 sections :

      • "Infrastructure Sponsors" répertorie les sponsors qui aident GIMP au niveau de l’infrastructure :

        • CircleCI et MacStadium rendent possible notre plateforme d’intégration continue macOS.
        • Arm Ltd. sponsorise et administre plusieurs exécuteurs « Aarch64 » sur Windows pour notre version ARM 64 bits pour Windows ; et Microsoft avait offert des frais uniques pour leur Microsoft Store.
      • "Hardware Sponsors" répertorie les sponsors qui ont fait don de matériel aux contributeurs pour les aider dans leur travail de développement :

        • Arm Ltd. a récemment fait don d’un kit de développement Windows 2023 pour prendre en charge notre récent support Aarch64/Windows.
        • Purism a fait don d’un Librem Mini en 2021.
      Télécharger GIMP 2.10.38

      Vous trouverez toutes nos builds officielles sur le site officiel de GIMP (gimp.org) :

      • Flatpaks Linux pour x86 et ARM (64 bits)
      • Installateur Windows universel pour x86 (32 et 64 bits) et pour ARM (64 bits)
      • Paquets macOS DMG pour le matériel Intel
      • Paquets macOS DMG pour le matériel Apple Silicon

      D’autres paquets réalisés par des tiers devraient évidemment suivre (paquets des distributions Linux ou *BSD, etc.).

      Et ensuite ?

      C’est clairement l’une des plus petites versions de la série 2.10, et elle pourrait être notre dernière. Nous verrons, même si nous savons aussi que certaines personnes restent bloquées plus longtemps que d’autres sur des séries plus anciennes (en particulier lors de l’utilisation des distributions Long Term Support (LTS) de systèmes d’exploitation de logiciels libres), si nous pourrions donc faire (si nous pensons que c’est nécessaire), une version 2.10.40 avec des corrections de bogues juste avant ou juste après la sortie de GIMP 3.0.0, en guise de conclusion.

      Dans tous les cas, nous arrêtons désormais le rétroportage des fonctionnalités de la série 2.10. Ces améliorations de la prise en charge des tablettes graphiques pour Windows sont suffisamment importantes pour qu’elles aient dû être intégrées ; mais à partir de maintenant, nous voulons nous concentrer uniquement sur la sortie de GIMP 3.0.0.

      Maintenant, vous vous demandez peut-être quand cela se produira-t-il ? Très bientôt ! Nous sommes sur le dernier sprint vers la release candidate. Cela inclut de nombreuses corrections de bugs, mais également des modifications de l’API en cours. Nous vous tiendrons au courant !

      N’oubliez pas que vous pouvez faire un don et financer personnellement les développeurs de GIMP, comme moyen de redonner et accélérer le développement de GIMP. L’engagement communautaire permet au projet de se renforcer !

      Die: Projection de "Nothing to Hide", Le mardi 21 mai 2024 de 19h00 à 22h00.

      l'Agenda du Libre - 14 mai, 2024 - 12:54

      Rézine (fournisseur d’accès associatif à Internet) organise une projection du documentaire « Nothing to Hide » suivi d’une discussion sur le film.

      Il s’agit d’un film documentaire autour des données personnelles et de l’argument « je n’ai rien à cacher ». Sont abordés les enjeux liés à la collecte des données personnelles, que ce soit pour de la publicité ciblée, du profilage pour des entreprises privées ou de la surveillance de masse et de ses effets.

      La projection sera à prix libre, le film est en licence Creative Commons (CC-BY-NC-ND) et l’argent récolté sera reversé aux réalisateurs.

      Vandœuvre-lès-Nancy: Atelier libre - Monnaie locale sur OsmAnd, Le samedi 18 mai 2024 de 10h00 à 12h00.

      l'Agenda du Libre - 14 mai, 2024 - 12:52

      Concept de l'Atelier libre

      Les usagers de la FCCL sont invités à partager leurs savoirs pour trouver ensemble, une solution à une problématique posée. Toute idée peut être proposée à l'occasion d'un atelier à condition bien sûr qu’elle soit cohérente avec la philosophie de la culture du libre.

      Thème du jour

      OsmAnd est une application de cartographie et de navigation sur ordiphones. Les cartes utilisées sont celles d'OpenStreetMap.

      L'atelier porte sur un projet consistant à implémenter sur OsmAnd l'information relative à la prise en charge des monnaies locales dans les commerces.

      Horaires

      Cette animation se déroule le matin, de 10 h à 12 h.

      Inscription aux ateliers

      Inscription possible depuis le site web.

      Lionel DRICOT: Contre nos comportements stupides et criminels, l’apprentissage

      Planète April - 14 mai, 2024 - 02:00
      Contre nos comportements stupides et criminels, l’apprentissage Nos amies les baleines

      Le chant des baleines est-il un langage avec une véritable grammaire et une signification précise ? Ou bien est-ce un chant « musical », émotionnel ? Nous n’en savons encore rien. Et c’est extrêmement difficile d’apprendre leur langage, car nous n’avons pas de conversation. Nous ne faisons que les écouter, nous n’avons aucun point de référence.

      Rappelons que les hiéroglyphes égyptiens étaient indéchiffrables alors qu’il s’agissait d’une écriture humaine utilisée moins de 2000 ans auparavant. Nous ne comprenions pas nos propres ancêtres, avec le même cerveau que nous, le même mode de fonctionnement. Il a fallu, pour les déchiffrer, trouver un texte pour lequel nous connaissions la signification (la pierre de Rosette).

      Les baleines sont une espèce totalement différente de nous, qui évolue dans un milieu totalement différent du nôtre et les seules interactions que nous avons avec elles, c’est pour les massacrer. Nous accomplissons un génocide, nous exterminons une espèce consciente, intelligente et communicante sans sourciller. Et sans réelle nécessité autre que notre petit confort absurde.

      Nous sommes littéralement les mauvais extra-terrestres d’Independance Day ou de Mars Attack. En plus stupide. Car c’est notre propre planète que nous détruisons.

      Parenthèse SF

      Je profite de la référence SF pour présenter un tout nouveau blog de critiques de Science-Fiction qui me fait l’honneur de parler de mon recueil « Stagiaire au spatioport Omega 3000 »

      Green washing

      Nous sommes tellement stupides que, lorsque nous nous rendons vaguement compte du mal que nous faisons, nous tentons de nous acheter une conscience en, surtout, ne changeant rien. J’ai reçu un email qui me demandait, littéralement, si j’avais des solutions pour rendre le monde plus écologique, mais sans rien changer.

      À ce sujet, Louis Derrac dézingue Écosia, qui le mérite amplement. Le principe d’Écosia c’est de vous montrer des publicités pour vous faire consommer, mais de vous dire que c’est vert parce qu’ils plantent des arbres.

      Bref, c’est du bullshit à l’état brut. C’est une arnaque jusqu’au plus profond. Car, comment croyez-vous que l’on plante des arbres de manière industrielle ? C’est très simple : on rase une forêt, on fait une plantation d’arbres que l’on coupe régulièrement pour faire du papier et puis on replante. On génère de cette manière des certificats verts qu’on peut revendre. C’est une des raisons qui fait que les « certificats verts » sont une catastrophe écologique.

      Au départ, je croyais qu’Écosia était simplement un truc un peu benêt, fait par des gens pas très malins. Je commence à penser qu’ils sont, en fait, vraiment malhonnêtes et cyniques. Mais également stupide.

      Car, comme disait le père Brown, le personnage de G.K. Chesterton :

      Être assez intelligent pour gagner autant d’argent implique d’être assez stupide pour le vouloir
      Un homme s’écrie « Toutes ces entreprises immorales gagnent des milliards en exploitant, polluant, espionnant… » et deux riches patrons lui répondent : « Vous pouvez nous réexpliquer comment elles font ? Ça nous intéresse ! »

      D’une manière générale : la publicité est une arnaque. C’est le principe. Il y a vingt ans, la publicité prétendait blanchir votre linge sale. Aujourd’hui c’est votre conscience. Mais c’est toujours un mensonge.

      Ce qui me fend le cœur, c’est de voir des personnes hautement impliquées dans l’écologie et les luttes sociales trouver normal de promouvoir à tout prix leur compte Facebook où Instagram. Avec un iPhone parce que ça prend des plus belles photos pour Instagram. Voire dire que « l’informatique ne les intéresse pas » (alors que c’est la base de notre société et de ses rapports de force).

      C’est pourquoi je suis content de voir que des initiatives existent désormais pour aider les assocs qui se veulent éthiques à être éthiques également dans le choix de leurs outils.

      Addiction aux statistiques

      Nous sommes tellement stupides que nous tentons d’optimiser des métriques absurdes en payant ceux qui fournissent ces métriques. Votre manager ne veut pas entendre parler de Mastodon, mais veut que vous intégriez une IA et vous mettiez en avant la page Facebook ?

      Parce, comme tout le reste du monde, votre manager est, n’ayons pas peur du mot, stupide, et accroc aux statistiques absurdes. Car la page Facebook permet de voir "le nombre de clics journaliers" et le fameux "reach" de chaque post avec des jolis graphiques et des boutons à cliquer pour augmenter ces statistiques pour seulement quelques euros. Mastodon pas. Peertube, non. Alors, difficile de justifier le boulot sur ces plateformes.

      Ce comportement, crétin et stupide, est tellement normalisé que c’est une des premières critiques que me disent les particuliers qui n’aiment pas Mastodon et/ou Gemini. Ils n’ont aucun intérêt commercial et pourtant ils se plaignent « de ne pas avoir de statistiques ».

      Vous allez probablement me demander en quoi augmenter des statistiques en payant le fournisseur de statistique a une quelconque utilité et peut être considéré comme un succès.

      Je suis content que vous posiez la question parce que, justement, les plus grandes entreprises de la planète basent aujourd’hui tout leur business model sur le fait que personne ne la posera jamais.

      Encore et toujours l’IA

      Le crétinisme ambiant devient particulièrement visible lors des bulles technologiques. Oui, les algorithmes LLMs sont intéressants. Mais non, vous n’en avez pas besoin. Même les utilisateurs les plus enthousiastes de Github Copilot commencent à réaliser qu’ils passent plus de temps à tenter de comprendre ce que le générateur pond plutôt que de l’écrire eux-mêmes. Et, avec candeur, de penser qu’il « suffirait que ça s’améliore juste un peu ».

      Viznut, le mec qui a inventé le terme « permacomputing », réfléchit avec finesse sur ce que nous appelons l’intelligence artificielle.

      Il en sort des conclusions que je partage totalement : oui, la technologie est fascinante et intéressante. Oui, c’est une pure bulle qui va exploser. Mais il en rajoute une couche : le concept même de prompt est absurde et jette à la poubelle 50 ans de recherche et d’expérience sur la notion d’interface utilisateur. Les ordinateurs qui répondent à un prompt, ça fonctionne dans Startrek (et Galaxy Quest quand c’est Sigourney Weaver qui demande) parce qu’il y a un scénario prédéfini.

      Dans la réalité, un humain a besoin de comprendre comment son outil fonctionne pour affiner les résultats, pour en faire une utilisation créative. À moins qu’on ne veuille surtout pas d’utilisateurs créatifs et intelligents comme le suggère la dernière pub d’Apple pour son iPad ? J’ai, en toute honnêteté, cru qu’il s’agissait d’un spot anti-monopole et anti-Apple lorsque je l’ai vu pour la première fois (cela en dit long sur la prétention des mecs qui, à toutes les échelles de ce projet, n’ont pas réalisé que détruire des instruments de musique pouvait être mal perçu)

      La médiocrité de la moyenne statistique

      Dans les IA, le principe statistique impose, et c’est déjà le cas pour tous les algorithmes de promotions de « contenu », une médiocrité moyenne obligatoire. Il suffit de surfer sur Facebook ou Twitter pour comprendre ce que cette médiocrité « moyenne » représente.

      Alors, peut-être que beaucoup d’humains n’ont pas envie d’apprendre à utiliser un outil et qu’ils sont contents avec un « prompt » qui leur propose des réponses définitives. Peut-être que beaucoup d’humains ne veulent pas être confrontés à des articles, des histoires ou des œuvres d’art qui sont particulièrement étranges et dérangeantes. En fait, c’est une certitude, la majorité des humains veut faire comme la majorité. Sans oser se l’avouer, bien sûr, mais quand même.

      Moi pas. Et je ne pense pas être le seul.

      Alors, par principe, je m’oppose à toute « moyenne statistique de la création humaine ». Je veux des œuvres qui dérangent, des questions qui fâchent, lire des textes qui sont détestés, honnis.

      Je ne veux pas produire ou consommer du contenu. Je veux créer et découvrir.

      Et si la bulle n’avait pas explosé ?

      Charlie Stross rappelle que l’IA est objectivement une bulle qui ne sert que les intérêts de Nvidia et qui ne rapporte même pas de quoi payer l’électricité consommée. Cela lui rappelle la bulle dotcom de 2000. Et il se prend un délire génial : et si la bulle de 2000 n’avait pas explosé ? Et si toutes les promesses bullshit s’étaient réalisées ?

      En remettre une couche ou simplifier ?

      Au final, rajouter une couche de complexité sur un outil est un manque d’intelligence.

      Plus on a de compétences techniques, plus on peut utiliser des technologies « basses », et plus on est incompétent, plus on utilise une technologie haut niveau qui décide à notre place. Donc il faut essayer d’enseigner la technologie la plus « basse » possible pour permettre aux enfants d’être en mesure de comprendre ce qu’ils font.

      Marcello Vitali-Rosati, auteur de « Éloge du bug »

      Je le vois autour de moi : toute personne qui creuse un peu, qui réfléchit tente de simplifier ses outils, de revenir à l’essentiel.

      Thierry Crouzet a suivi un chemin très similaire au mien pour quitter Wordpress et revenir au texte brut. Si je ne vous ai pas encore convaincu, voici une autre version, une autre vision de la même solution au même problème. Avec un titre parfaitement adapté à la situation.

      J’avoue de mon côté une fascination pour les réseaux dits « off-grid », qui ne reposent sur aucune infrastructure publique majeure (comme Internet repose sur le réseau téléphonique/câbles sous-marins/fibre optique).

      Lark est justement en train de tester Meshtastic.

      Productivité

      Cela fait 35 ans que j’écris sur un ordinateur. Avec le recul, je n’ai aucun doute sur ce qui a eu le plus d’impact sur ma productivité : apprendre la dactylographie.

      Si je ne dois conseiller qu’un seul apprentissage à ceux qui veulent augmenter à la fois le plaisir et leur productivité sur un ordinateur, c’est bien la dactylographie. Et, tant qu’à faire, autant l’apprendre sur une disposition optimisée comme le bépo.

      Mon expérience date un peu, mais Mart-e a fait un long compte rendu de son passage, d’abord au Bépo puis à l’Ergo-L (le passage à l’Ergo-L me tente bien).

      Si j’écris avec autant de facilité, c’est parce que je maitrise mon clavier Bépo et mon éditeur, Vim. Je n’utilise rien d’autre, pas même un plugin. J’écris de petits scripts bash pour accomplir les opérations répétitives. Et force est de constater que je suis productif pour écrire du texte et du code.

      Aucune innovation ne peut passer outre l’apprentissage. Aucun ordinateur ne pourra jamais accomplir ce que vous voulez si vous n’avez pas d’abord appris à savoir ce que vous voulez.

      Si vous pensez qu’une intelligence artificielle va augmenter votre productivité, mais que vous n’êtes pas prêt à investir quelques heures pour apprendre la dactylographie, vous êtes, excusez-moi de vous le dire, un crétin. Vous espérez faire plus en pensant moins. Or le monde a exactement besoin du contraire : des gens qui pensent plus pour faire moins.

      Notre stupidité est en train de détruire notre monde, de détruire la vie. Les nouveaux outils ne feront qu’envenimer la situation. Notre seule arme, l’unique, c’est l’apprentissage et l’éducation.

      Ingénieur et écrivain, j’explore l’impact des technologies sur l’humain, tant par écrit que dans mes conférences.

      Recevez directement par mail mes écrits en français et en anglais. Votre adresse ne sera jamais partagée. Vous pouvez également utiliser mon flux RSS francophone ou le flux RSS complet.

      Pour me soutenir, achetez mes livres (si possible chez votre libraire) ! Je viens justement de publier un recueil de nouvelles qui devrait vous faire rire et réfléchir. Je fais également partie du coffret libre et éthique « SF en VF ».

      Visualisation d’imageries médicales avec Invesalius

      Linuxfr.org - 13 mai, 2024 - 22:00

      Nous allons parler ici des examens par imageries médicales de type scanner ou IRM. Un scanner est une série d’images faites aux rayons X et pour une IRM c’est de la résonance magnétique. Pour une IRM, vous passez dans un énorme aimant extrêmement puissant (attention aux objets métalliques). Quand vous passez l’un de ces examens, vous repartez avec un CD ou DVD que vous donnez à votre médecin ou bien vous avez un code pour aller chercher vos images sur internet. Vous pouvez aussi parfois y accéder avec votre smartphone. Il s’agit le plus souvent d’une série d’images en noir et blanc de type jpeg. Elles sont difficiles à interpréter par des non-spécialistes. C’est là qu’intervient un logiciel dédié. Vous pouvez parfois obtenir la série d’images sous un format dédié, c’est le serveur qui fait la conversion sur demande, par exemple le format DICOM (« Digital Imaging and Communications in Medecine ») qui est le standard de facto pour la gestion d’images médicales, ou NIFTI. Gimp peut lire le format DICOM, mais ce n’est pas très pratique.

      Dans le package Debian med-imaging des tas de logiciels sont fournis, comme des logiciels de traitement du signal (du cœur par exemple). Pour lire le format DICOM, nous avons ITK-SNAP, mais nous nous attarderons aujourd’hui sur Invesalius. Il a été nommé ainsi en honneur d’un docteur belge Andreas Vesalius (1514-1564) considéré comme le père de l’anatomie moderne. InVesalius a été développé depuis 2001 par le Centre de Technologie de l’Information Renato Archer (CTI), une unité du Ministère des Sciences et de la Technologie (MCT), du Brésil. Il est disponible pour Windows, GNU/Linux et Mac OS X. La licence est la GNU GPL (General Public License) version 2 et cerise sur le gâteau, il est disponible en français.

      Une fois les données converties en DICOM et téléchargées, nous les importons dans Invesalius. C’est un peu long et il faut une bonne machine, car les données font 3 Go. Nous choisissons les données à visualiser. Puis nous pouvons choisir un intervalle de nuance de gris et générer la surface 3D correspondante. On peut ainsi sélectionner les os, cartilagineux ou pas, les organes, les muscles ou la peau. On peut aussi avoir les vaisseaux puisqu’ils injectent de l’iode, un produit de contraste. Les vaisseaux apparaissent alors comme les os. Pour finir, on peut affecter des couleurs à chaque surface créée. On peut alors exporter le tout sous les formats STL, OBJ ou PLY. C’est donc alors bien entendu lisible sous FreeCAD ou Blender.

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      PyConFR 2024, du 31 octobre au 3 novembre à Strasbourg

      Linuxfr.org - 13 mai, 2024 - 17:03

      L’Association Francophone Python (AFPy) organise la PyConFR 2024 du jeudi 31 octobre au dimanche 3 novembre. Pour cette 15e édition, nous sommes accueillis par l’Université de Mathématique et d’Informatique de Strasbourg (https://mathinfo.unistra.fr/) !

      Si vous ne connaissez pas la PyConFR, c’est un évènement gratuit sur 4 jours autour du langage de programmation Python. Tout d’abord, il y a deux jours de développements participatifs (sprints), puis deux jours de conférences et ateliers.

      Vous pouvez proposer un sujet de sprint, de conférence ou d’atelier jusqu’au 21 juillet. Peu importe votre niveau en Python, n’hésitez pas à proposer un sujet ! Venez parler de développement logiciel, de diversité, de communauté, faire un retour d’expérience sur un outil, présenter votre projet, un domaine d’activité…

      Dans un secteur aussi masculin que le développement informatique, nous proposons aux personnes habituellement peu représentées en conférence de l’aide pour trouver un sujet, rédiger la proposition de conférence, rédiger le support de conférence et pour répéter. Vous pouvez nous contacter à l’adresse diversite@afpy.org si vous pensez en avoir besoin.

      Enfin, la PyConFR est entièrement financée par les sponsors. Si vous connaissez des sponsors potentiels, n’hésitez pas à leur parler de l’évènement !

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      Paris: Apéro Parisien du Libre, Le mercredi 15 mai 2024 de 19h00 à 23h55.

      l'Agenda du Libre - 13 mai, 2024 - 14:10

      Tous les 15 du mois, Parinux organise un Apéro Parisien du Libre (APL).

      Cet événement informel et convivial réunit les personnes intéressées par le monde du Libre.

      Le 15 mai, cela se passera au Ker Beer à partir de 19h : n'hésitez pas à venir discuter et boire un coup avec nous :-)

      Montpellier: Rendez-vous | Quadrapéro, Le jeudi 16 mai 2024 de 20h20 à 21h00.

      l'Agenda du Libre - 13 mai, 2024 - 10:06

      Afin de se rencontrer, d’échanger et de faire plus ample connaissance, Montpel’libre lance de nouvelles rencontres surnommées les Quadrapéros. C’est l’occasion pour les neurones de toute part de se réunir physiquement pour discuter, échanger et partager un verre et de quoi grignoter.

      Ce rendez-vous est « hybriditiel » ou « hybridiciel », c’est à dire qu’il sera à la fois en présentiel et en distanciel.

      Les Quadrapéros auront lieu tous le 3e jeudi de chaque mois. Ils sont l’occasion de discussions informelles d’une part et de discussions plus sérieuses sur les différents thèmes d’importance et les différentes actions et campagnes en cours.

      Tout le monde est invité aux Quadrapéros, qu’on soit contributeur ou contributrice de longue date, simple intéressé par les sujets que défend la Quadrature, ou nouvel arrivant cherchant à participer davantage. N’hésitez pas à amener vos amis et à leur faire découvrir La Quadrature et Montpel’libre.

      Peuvent être aussi abordées des questions sur Les exégètes amateurs ou Open Law.

      Les discussions de ce mois-ci se porteront sur l'actualité de moment.

      Entrée libre et gratuite sur inscription. Une simple adhésion à l’association est possible.

      Tramway lignes 1, 2, 3 et 4, arrêts Gare Saint-Roch
      GPS Latitude : 43.60285 | Longitude : 3.87927
      Carte OpenStreetMap

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